« L'Iran se réserve le droit de venger le meurtre en martyr de Qassem Soleimani, le défunt commandant de la Force Qods (Force extérieure du CGRI). Cette vengeance est absolue et fatale qui sera réalisée au bon moment et au bon endroit », a promis ce dimanche 3 janvier 2021 le porte-parole du CGRI, cité par l’IRNA.
Ramezan Charif a précisé : « C'est l'Iran qui détermine le moment et le lieu de la vengeance de l'assassinat de Soleimani, et non pas les États-Unis.
Le porte-parole du Corps des gardiens de la révolution islamique d'Iran a souligné : « Cette vengeance devrait avoir le plus grand impact sur l'ennemi et gagner le plus de soutien du monde islamique. »
« En attendant que l'Iran venge l’assassinat du martyr Qassem Soleimani, les États-Unis, sont fatigués de cet état d’alerte permanent », a-t-il conclu.
Le très haut général iranien, Qassem Soleimani, commandant en chef de la Force Qods du CGRI, et Abou Mahdi al-Mohandes, chef adjoint des Hachd al-Chaabi (Force de la Mobilisation populaire )d’Irak, ont été lâchement assassinés le 3 janvier 2020 près de l’aéroport de Bagdad par les forces américaines et sous l’ordre directe du Président finissant américain, Donald Trump.
Le général Soleimani était en visite officielle en Irak et devrait rencontrer le premier ministre irakien de l’époque, Adel Abdel-Mehdi.
De nombreux pays de la région, dont l'Irak, la Syrie, le Liban, le Pakistan et l'Afghanistan, ont assisté ces derniers jours à diverses cérémonies, rituels et conférences pour commémorer le premier anniversaire de la mort en martyre des commandants Soleimani et Mohandes et pour examiner les aspects juridiques de l'assassinat de ces martyrs.
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